Merry Christmas.

Rappel du premier message :

Introduction

Tous les élèves se précipitaient dans la grande salle. Là-bas, il y avait des guirlandes, étoiles accrocher un peu partout sur les plafonds. Certains allaient vers le buffet, d'autre attendaient sagement. C'est avec émerveillement qu'ils virent le sapin arriver, porté par deux élèves. Une fois le sapin posé, tous criaient:
-Joyeux Noel !

Mon regard était vide. Je n'arrivais plus ni à penser, ni à bouger. Alors comme ça elle s'appelait Cecillia... Je voyais seulement Sacrinea et Cecillia se battre. J'étais incapable de bouger, et même dans ces moments là mon don ne m'était aucunement utile. Je fermais les yeux et me laissais tomber en arrière. J'arrivais sur les genoux. Là seule chose dont j'étais capable, c'était de séparer Sacrinea et Cecillia d'une barrière de feu.
- Je m'appelle Alice.
Je m'écroulai.

Je pris un bout de tissu et l'accrocha à la jambe de Cecillia.
-Je ne suis pas faible.
Je la fit s’asseoir. Je sortais de la salle et revenait un peu plus tard avec un gros gâteau au chocolat que j'avais fait avec une fille de ma classe.
-Joyeux Noel, les filles.

Sacrinea

Alice, s'écroula, Cecillia l'aida, Ruika resta la et regarda quand a moi je m'en alla, tout simplement car je pensais passer un Noël avec mes amies mais la souffrance de ce soir me fis rappeler les Noël avec mon père ou je restai toute la journée dans une salle noirs, je ne voyais rien la ou mon père m'avais enfermé pour aller se souler. Bizarrement elle m'avais fais ressentir ce même sentiment. Je m'allongea au milieu des fleurs du jardin et je dis "Joyeux Noël et joyeux anniversaire papa". Le jour de Noël ou le jour ou j'avais assassiner mon père. Je finis par fermé les yeux.

[Je résume parce que j'ai loupé pas mal d'action... Donc je me rattrape en ajoutant également des réactions.]

Ruika se tenait donc devant la demoiselle, attendant une réponse qui ne vint pas. Alice qui, après avoir montré sa joie auprès de la dénommée Sacrinea, la rejoignit. Elle la salua et lui demanda comment l'inconnue trouvait le sapin, ajoutant qu'elle l'avait décoré avec sa classe. Puis, Alice posa une question qui surpris Ruika « Quelle est ta race ? ». Comme simple réponse, la jeune inconnue leva la main en l'air et comme geste de défense, Alice, créa une barrière de feu. Ruika eut un léger mouvement de recul, sentant la chaleur des flammes lui caressait le visage. Sacrinea arriva rapidement, brandit sa faux afin de s'interposer entre les deux demoiselles. Ainsi, un conflit allait avoir lieu... L'inconnue jeta un regard en direction de l'arrivante. Cette dernière se décala brusquement de son amie. Ruika fut également surprise de cette façon de bouger. Telle un pantin. Des ronces jaillirent de l'endroit où se trouvait Sacrinea et vinrent envelopper l'inconnue qui d'un bond et d'un coup de lame, s'en détacha avec habileté. Enfin, l'inconnue se présenta devant Alice avec un geste que Sacrinea trouva déplacé. L'inconnue s'annonça comme Cecillia. Enfin, il y eut encore une brève discussion entre les deux dernières arrivantes. Brève mais plein de sens. Finalement, alors qu'Alice entama sa présentation, elle s'écroula de fatigue et Cecillia lui demanda de prendre son énergie. Ruika fronça les sourcils.
Quelques minutes plus tard, Alice fit assoir la nouvelle venue, apparemment blessée et lança un « joyeux noël ». Bien que faible Alice le nia. Sacrinea, restée en retrait comme Ruika, chuchota quelques mots. Ruika était resté vers le sapin, préférant analyser toute cette scène lorsque la dénommée Cecillia arriva, toujours impassible. [attention entre *...* ce sont les pensées de Ruika, personne ne peut les entendre]

*Alors, résumons, la situation... Alice détient le pouvoir de feu... Elle crée des barrières. Sans doute autre chose, aussi. Sacrinea... Détient une faux et fait jaillir des ronces... Le feu pourrait donc les brûler... Quand à l'autre... Cecillia... Il y a quelque chose de relativement étrange... En un regard... Elle a fait bouger Sacrinea comme une marionnette... Comment peut-elle faire ça ? D'un regard... *

Ruika observa un instant la jeune fille qui lui fit un signe de tête avant de replacer une décoration sur le sapin. Se demandant pourquoi elle était encore présente en ces lieux où la fête allait débuter, Ruika décida de s'en aller. Après tout, il n'y avait rien de plus déprimant pour une chasseuse "guerrière" que de ne pas tuer ces espèces qui faisaient défaut au reste du monde. Humaine, la chasseuse savait que bientôt le monde serait condamné. L'humanité deviendrait esclave et les mutants génétiques, les sorciers en tout genre, les autres bestioles qui pullulaient parmi les humains viendraient à les dominer. C'est pourquoi, elle souhaitait les achever. Néanmoins, avec trois personnes contre elle, elle n'aurait aucune chance d'en tuer une ce soir, ici.
La dénommée Cecillia ramassa sa lame au sol afin de la ranger. Ruika décida de s'en aller et quitta la pièce où le sapin trônait. Ce soir, elle tuerait l'un d'entre eux mais pas ces trois là.
Ruika franchit la porte et disparue en bondissant sur un toit.
[entendez par là qu'elle est partie et que vous ne pourrez pas la rattraper.]

[HRP: Sacrinea est partit mais vous pouvez toujours la rejoindre au cas ou]

Je pose le gâteau et sors. De toute façon, les autres élèves finiront bien par revenir et fêter Noel comme il se doit. J'étais maintenant seule... toute seule... Je sortais de la salle et chercha Sacrinea. Je la retrouva, dans le jardin, au milieu des fleurs. Il y avait aussi Cecillia, ma nouvelle rencontre, qui l'observait sans s'approcher et il semblait que mon amie ne l'ait pas remarqué. Je m'approchais de Sacrinea et m'assis à ses cotés.
-Joyeux Noel, Sacri-chan.

J'étais allongé la, les yeux fermé a repenser a mon père, c'est idiot pourquoi suis-je tout le temps triste a Noël, j'ai assassiné mon père pour mon propore bien alors pourquoi après tout ce qu'il m'a fais pourquoi est ce que je l'aime encore. C'est incompréhensible. Je sentis quelqu'un qui s'assis a côter de moi. J'ouvris les yeux et Alice me dis simplement "Joyeux noël". Les larmes commencèrent a couler, et je lui répondit.

-Joyeux Noël Alice.

J'étais heureuse et triste en même temps. Je leva le bras et fis un signe en direction de Cécillia.

-Tu peux venir t'asseoir si tu veux, Cécillia.

Cecillia était arrivée. Pour ne pas déranger, je m'en alla. J'allais dans ma chambre et, dès que la porte se fermât, j'éclatais en sanglot. Noel est si triste, Noel est si joyeux ! Je déteste ces fêtes ! Je m'étais sentie obligée de le fêter en faisant semblant d'être joyeuse.. pourquoi ? La sorcellerie prit possession de moi et mes courts cheveux blond devinrent longs et blancs. Mes yeux lilas pleins de malice et de joie se transformèrent en yeux rouges pleins de colère, de haine et de regrets. Je tuerai tous ceux qui ont fait semblant de vouloir être mon amie. Le jeu va commencer...

...Noel ensanglanté.

Cécilla, quitta l'ombre et vins s'asseoir a côté de moi, elle me dis de secher mes larmes car j'étais moche avec, je ris légerement. J'eu a peine le temps de répondre qu'elle me dis encore par penser mon nom.

- Je m'appelle Sacrinea, et tu ne sais pas pourquoi je pleure donc tu pas comprendre, dis-je en riant. Mais pourquoi tu ne parle jamais ?

Je me releva, restant assise. Puis je commença a jouer avec les fleurs qui sans que je les touche commencèrent a bouger toute seule. Je me reconcentra ensuite sur Cécillia.

Je marchais lentement dans les couloirs, affaiblie. Je m'agrippais au mur et touchais ma tête, elle me faisait mal. Je sentis que j'allais m'écrouler mais je marchais quand même. J'étais enfin arrivée dans le jardin. J'étais juste à coté de Sacrinea et de Cecillia. Ma voix dit faiblement:
-Sacri...
Je m'écroulais. Elle allait me tuer, c'en est certain. Pourquoi s'est-elle manifestée juste au moment de Noel. Mes yeux rouges comme le sang, ou plutôt ses yeux rouges comme le sang, se fermèrent.

Je continuais de la fixé attendant une réponse, elle répondis encore par la pensée que c'étais une longue histoire.

-J'ai tout mon temps, répondis-je avec le sourire.

J'attendais une réponse lorsque je vis Alice qui dis d'une voix si faible qu'elle me fis peur "Sacri..."
Je me mis sur les genoux.

- Alice ! Qu'est ce que tu as ?

Je lui proposa de la soigner grâce au plantes enfin si elle en avais besoin.

Je marchais tranquillement dans un couloir, je n'avais auccune envie d'aller la ba, la ou les autres s'amusaient, riaient... Cela faisait deja un moment que je marchais, bras croiser sur les epaules, l'air de rien, quand je vis deux jeunes filles a terre. L'une d'elle avait l'aire mal au point et l'autre tres inquiete. Je ne voulais pas d'ennuis, mais impossible de partie l'aire de rien quand deux jeunes filles sont dans le besoin...
Je m'approcha d'elles.
- Eu, pardon? Vous avez besoin d'aide?

Cette fille me disait 'tait toi', pourtant je n'avais rien fais a par demander si elles avaient besoin d'aide.
J'etais enerver, une fille sortie de la campagne venait de m'insulter, moi!. Je haussa les epaules et continua mon chemin, en lui disant 'baka, tu vas la tuer comme sa'.